Le bonheur est-il un facteur stimulant pour notre santé?

A côtoyer des personnes moroses, celles-ci vont jouer sur notre dynamisme, notre joie de vivre.

Nous l’avons tous testé.

Le taux vibratoire bas qu’elles induisent, nous tire, nous aussi vers le bas.

Vous mettez une pomme abîmée dans un panier de pommes saines.

Au bout de huit jours, toutes les pommes seront pourries.

C’est exactement le même processus, la santé des autres pommes a été altéré par la pomme malade.

Nous le savons d’instinct et nous fuyons l’autre « malade ».

Mais est-ce toujours l’autre qui est malade?

Ne sommes nous pas aussi quelque fois cette pomme malade pour les autres?

A voir le verre toujours à moitié vide, sommes nous plus heureux?

Bien sûr que non!

Mais quoi faire quand le blues nous habite?

La Gratitude est peut-être la solution…

Comment nous sentons-nous en réalisant le fait d’avoir des yeux et d’avoir la chance de regarder les personnes que nous aimons, la nature, nos animaux de compagnie…

La chance de vivre dans un pays où nous pouvons accéder facilement à la nourriture…

N’est-ce pas là, la vraie richesse?

Courir après des choses, des objets, l’argent pour l’argent…

Ne serait-ce pas là, le problème de beaucoup de nos désillusions?

Quand nous regardons vivre les moines, que ce soit des bouddhistes, catholiques ou d’autres religions…

Ceux-ci vivent dans un parfait dénuement, avec un repas par jour…

Ils sont parfaitement heureux dans la gratitude!

Que nous apprend on, alors à l’école?

A être heureux ou bien à courir derrière un hypothétique emploi?

Au Danemark, à l’école, « les cours de gentillesse » sont obligatoires.

Les Danois sont le peuple le plus heureux car axé sur le bien-être de sa population.

Les élèves sont même payés, sous forme de bourse pour aller à l’école.

Mais surtout ils sont là pour développer leurs capacités comme le dialogue, la confiance en soi, l’optimisme ou la générosité….

N’y aurait-il pas une relation de cause à effet?

Ne devrions-nous pas creuser cette piste pour à nouveau, accéder à ce bonheur que nous méritons et conserver grâce à lui, notre bonne santé?

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