Les terreurs nocturnes de nos enfants

Les terreurs nocturnes touchent de 3 à 5 % des enfants.

Alors pourquoi les  95 à 97 % des autres enfants ne sont pas touchés ?

J’ai rencontré cette semaine une jolie petite fille de 3 ans et sa maman.

Elle était inquiète des terreurs nocturnes de sa fille et surtout, elle ne savait pas quoi faire…

On peut être démuni face à un problème que nous ne comprenons pas, une fois expliqué, ce n’est plus un problème.

Tout les enfants sont médium jusqu’à 5/6 ans.

Ils n’ont pas ces filtres imposés par la bienséance de notre société, des conventions de dire « ce n’est pas vrai, ça n’existe pas! »

Les enfants jusqu’à cet âge ne rationalisent pas, ils prennent les informations brutes :

« Il y a quelque chose qui me fait peur. Je vois des choses très moches, alors je crie, je pleure, j’appelle papa ou maman pour qu’ils viennent.

Ce sont des grands, ils vont faire partir cette affreuse chose de ma chambre.

Moi je suis trop petit/e, je ne peux rien faire… »

C’est cette impuissance face à ce que les petits peuvent voir, qui les terrorise.

Mais quand vous êtes médium enfant et que vous aller l’être toute votre vie, en le sachant ou pas…Les choses se corsent.

Les ressentis sont beaucoup plus fort et vous faites parti des 3 à 5 % de la population…

Je vous transfère une partie d’article de « Passeport santé », vous pourrez le consulté sur internet « terreurs nocturnes »

« Conduite à tenir face à une terreur nocturne

Si les terreurs nocturnes ne se répètent pas de manière trop systématique (plusieurs fois par semaine pendant plusieurs mois), elles ne présentent aucun danger pour la bonne santé de l’enfant. Elles ne nécessitent pas de traitement médicamenteux particulier.

1)      Bien identifier s’il s’agit d’une terreur nocturne ou d’un cauchemar.

2)      Si c’est une terreur nocturne, ne pas chercher à réveiller l’enfant. Il risquerait d’être totalement déboussolé et pourrait chercher à adopter un réflexe de fuite.

3)      Cherchez plutôt à l’apaiser, à lui parler d’une voix douce.

4)      Ne pas parler de l’épisode le lendemain au risque de l’inquiéter inutilement.

5)      Essayez de savoir si quelque chose le tracasse en ce moment sans évoquer l’épisode auquel vous avez été témoin.

6)      Réévaluez son hygiène de vie et notamment son rythme veille/sommeil. Envisagez de réintroduire des siestes si vous les avez supprimez.

7)      Si les épisodes s’intensifient, pensez à consulter un spécialiste.

8)      Si l’enfant présente des épisodes de terreur à des heures régulières, des éveils programmés 10 à 15 minutes avant l’horaire diminuent l’occurrence des symptômes.  »

Ce sont les préconisations d’un acteur de la santé publique, ayant pignon sur rue, mais qui ne peut introduire la notion de médium…pas assez cartésien 🙂

En fait, comme vous avez pu le lire, il n’y a pas de solution miracle à ce problème, du point de vue allopathique…

Pour ma part, je conseille aux parents de rassurer l’enfant, un câlin est le plus approprié.

La présence d’un doudou, d’une lumière douce et surtout, la présence d’un chat auprès de lui.

Un chat va prendre les énergies négatives et va protéger son petit humain, c’est sa mission…

Alors, faisons lui confiance 🙂

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