sur 26 mai 2019
Comme le disait le Docteur en neuroscience, Michel Jouvet : « l’absence de preuve, n’est pas une preuve d’absence »…
Mon travail dans les soins énergétiques tend à prouver cette phrase.
Rien ne se voit, mais tout se ressent !
La vue, dans ce cas, ne distingue rien et comme nous nous fions principalement à elle, celle-ci peut nous induire en erreur…
Pour autant, à la fin d’un soin, les personnes que j’ai eu dans mes mains trouvent qu’elles vont mieux et se sentent plus légère.
Qu’est-ce qu’il a bien pu se passer, pour qu’elles ressentent cela ?
N’y aurait-il pas une fonction dans notre perception de la vision qui nous empêcherait de voir ce que mes mains ressentent ?
Les sens sont des ressentis subjectifs.
Certaines personnes ne distinguent pas certaines couleurs ; le rouge et le vert pour les daltoniens.
Certains autres, quant à eux, voient bien au delà des couleurs « classiques » que nous voyons.
C’est la même chose pour l’ouïe, certains entendent peu et d’autres peuvent capter des sons inaudibles pour la plupart des gens.
Pour l’odorat, les grands nez sont recherchés dans la parfumerie, car très rare…
Les personnes qui ont un goût super développé sont recherché dans l’œnologie…
Pour le toucher, dernier de nos sens, pour ainsi dire, nous pourrions même douter de son existence, tellement nous nous en servons sans nous en rendre compte…
Le toucher nous indique si nous pouvons avoir confiance en telle ou telle personne, rien qu’en lui serrant la main.
Une accolade pour se dire bonjour, peut nous dire si cette personne va bien.
Ce ressenti est très palpable mais sous-exploité en conscience.
En ce qui me concerne, ce sens est le plus important, je bute sur les nœuds énergétiques comme s’il y avait un mur.
Le toucher me donne des informations que tous les autres sens ne me donne pas.
L’énergie, dans mon cas, ne se voit pas, elle se touche !
Et là, l’absence de preuve n’est pas une preuve d’absence.
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